La commune La Jasse – La gentillesse

LE PLAN GENERAL

Il y a 4000 ans, le contrôle administratif de La Jasse d’Occitanie comptait plus de 100000 bêtes, chèvres, brebis, moutons. La Jasse, cela signifie, désigne le lieu de ce moment où les bêtes dépaturées (qui ne paissent plus), vont en transhumance, passent par Alès et La Jasse, comme tous les ans. Le fisc en profite pour recenser et taxer les troupeaux. Le berger déteste La Jasse. L’agriculteur d’Alès déteste les bouffeurs d’herbe du berger. Les classes sociales sont en place pour une lutte finale, qui n’en finit jamais.
L’Occitanie a cette géo-histoire.
Les puissances et les puissants, les notables notables et notés tiennent de cette charge géo-historique.
Alès, ville dont La Jasse-La gentillesse est un faubourg, Alès se targue d'être devenue, au moins dans le langage courant, la capitale de l'Occitane. La Jasse-La gentillesse n'est qu'un maillon de cette ceinture de fer qui entoure Alès et qui fait sa richesse.
La chaîne aux maillons de fer devient ainsi une chaine d'or.
Des familles règnent. Les Champeyrache, par exemple, notaires de père en fils depuis cinq générations.
Champeyrache descendrait en droite ligne des Geoffroy de Peyrac, le fameux mentor d’Angélique Marquise des Anges. La famille, toujours là, tient son peuple, ses gens, ce petit personnel qui, mine de rien, tient la boutique à fric. Voici donc le 1er point du Plan Général. Les tribulations d’un Rio en Occitanie vont donner l'occasion d’un reportage, d’une enquête, d’une recherche ponctuelle. Cela se nomme au CNRS une monographie, dont Emmanuel Leroy-Larudie s'est fait l'initiateur en France.
Rio, durant 4 mois, d’avril à juillet 2017, se voit victime de discrimination, racisme, menaces de mort, abus de faiblesse, abus de confiance, vente forcée, refus de vente, non-assistance à personne en danger, refus de soins médicaux, interdiction d’accès à un médecin traitant, vols – lapin, poissons, chat, chien, poule tués ou battus –, victime d’un emprisonnement abusif durant 12 heures, soumis à un traitement humiliant, menotté, sans assistance médicale, sans nourriture, ni boisson, sans considération pour son âge avancé, menacé de mort par l’adjudant-chef dit « Robert » (ainsi qu'il s'est lui-même présenté), victime de transports abusifs en ambulance, cambriolé de ses derniers sous et quignons de pain, pour l'essentiel.
Voici le 2ème point de ce Plan Général, preuves à l’appui et plaintes enregistrées.
L’Occitanie voudrait placer un homme à elle à la Présidence de la République, en 2022. Cet homme se nomme Nicolas Ferrière.
Tout pousse à supposer que n'existe pas un réseau de racket, corruption, chantage, vols, détournements de fonds, prévarication, trafic d’influences et autres billevesées.
Le blanchiment d’argent sale ne se fait probablement pas par l’Opus Dei espagnol, via l’Occitanie, orienté vers les caisses noires des partis d’extrême droite, comme le F.N.
La famille Le Pen ne trouve-t-elle pas son terrain historique de croissance dans le Gard ? Objectif Gard devient un mot d'ordre de prise de pouvoir. Voici ce genre de conte de bonne femme qui égaye les veillées au feu de bois, car il faut faire feu de tout bois.
Voici le 3ème point de ce Plan Général.
« La Gentillesse » vient, dans ce contexte lourd et agaçant, rafraichir l’atmosphère. La prise de la mairie avant les élections municipales de 2019, est possible.
Le maire de Saint-Hilaire semble suivre les traces de son prédécesseur le sieur Roux, condamné en 2016 à 6 mois de prison avec sursis pour on-ne-sait-quel trafic d’influences ou à peu près. Jean-Michel Perret, maire actuel, y perd son latin, qu’il pratique mal.
La Jasse-La gentillesse se présente comme une Commune de La Jasse, comme d’autres parlent de Commune de Paris, 1871.
Cette commune de La Jasse viendra devant les électeurs demander quitus pour un Conseil de Mairie particulier : toutes les catégories d'âge, toutes les professions, tous les sexes (les 3), toutes les couleurs de peau, tous les caluts (les fous) et tous ceux qui n'ont pas l'électricité à tous les étages sont conviés à devenir des communards, partisans d'une municipalité n'ayant qu'un maire administratif.
Il se bornera à signer, le Conseil de Mairie faisant le reste.

Sans haine, sans violence, sans dieu, sans maître, sans carotte ni bâton.

L'équipe de R.net travaille dorénavant sur cette enquête, en amateur comme en professionnel.

Riochet ne brigue pas on ne sait quel poste de maire ou de conseiller municipal. Il n'est candidat à rien et refuserait d'éventuelles propositions de participation à cette commune de La Jasse. Il n'est ni dans l'ombre, ni dans la lumière, ni dans un clair-obscur evanescent, il est d'ailleurs pas même inscrit sur les listes électorales.

Informer est déjà l'action d'un partisan qui ne cache pas ses engagements politiques, culturels, philosophiques et résolument poétiques. Journaliste puis petit patron de presse, Riochet en garde à 70 ans largement passés, un goût peut-être immodéré pour faire vivre un journal, en l'occurence le magazine R.net.

Le seul enjeu qui semble entrer en jeu pour lui : remplacer l'argent par les gens. Sans carotte, ni bâton.

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